Ce collectif autunois a été crée le 22 Octobre 2010 par des autunois qui sont des syndicalistes, des personnes oeuvrant socialement ou de simples citoyens.Le but de ce collectif est de ne plus laisser une poignée de nos dirigeants supprimer nos acquis sociaux.C'est aussi refuser de supprimer à court terme notre système de retraite par répartition et de le livrer à la capitalisation.
Bref, vous l'aurez compris, c'est un collectif de résistance au système capitaliste.
mardi 9 novembre 2010
Ça y est, la loi sur les retraites est promulguée
A Colombey-Les-Deux Eglises hier. (© AFP Eric Feferberg)
Ça n'a pas traîné. La loi controversée sur les retraites, qui repousse de 60 à 62 ans l'âge légal de départ, a été promulguée tôt ce mercredi par Nicolas Sarkozy, donnant ainsi le top départ du compte-à-rebours du remaniement gouvernemental attendu désormais en début de semaine prochaine.
La loi, fortement contestée depuis deux mois dans la rue, a été publiée au Journal officiel après avoir été validée la veille par le Conseil constitutionnel.
En visite express à Colombey, le Président convoque le Général pour justifier son omniprésidence.
Récupérer De Gaulle pour justifier sa politique. C’est ce que Nicolas Sarkozy a fait, hier, à l’occasion du 40e anniversaire de la mort du fondateur de la Ve République.
Il a rendu hommage mardi à l'héritage du général de Gaulle et a placé son action sous son héritage, lors d'une cérémonie organisée à Colombey-les-Deux-Eglises à l'occasion du 40e anniversaire de sa mort.
Sous le crachin et un temps gris, le chef de l'Etat s'est d'abord recueilli devant la tombe du général, avant de signer le livre d'or de la Boisserie, la propriété où Charles de Gaulle s'est éteint le 9 novembre 1970 un an après avoir quitté le pouvoir, et de déposer une gerbe au pied de la croix de Lorraine qui domine le village de Colombey.
Devant le Premier ministre François Fillon, ses ministres Michèle Alliot-Marie et Luc Chatel, les patrons de l'UMP Xavier Bertrand et des députés du parti présidentiel ,Jean-François Copé, il a longuement exalté le souvenir du chef de la France libre.
Il a rendu hommage au «sauveur» de la France, ce «recours rassurant» qui a défendu une «conception toujours plus élevée, toujours plus exigeante de la France» et pour lequel «la France n'est jamais plus grande que lorsqu'elle l'est pour les autres».
Puis Nicolas Sarkozy en a profité pour inscrire son action dans les pas de son glorieux prédécesseur, rappelant sa volonté de défendre «l'identité française» ou sa tirade sur «la politique de la France ne se fait pas à la corbeille» pour justifier son combat en faveur d'une meilleure régulation de la finance mondiale, à la veille du G20 de Séoul.
Désavouer les pères fondateurs du « compromis social » négocié dans la résistance à l’occupation nazie par les communistes et les gaullistes n’est pas un problème qu’en psychanalyse .
la flamme du soldat niko enfin connue ...
Il se prend déjà pour Napoléon
il peut tout faire !! sauveur de la france à colombey , maquisard dans le vercors , ancien combattant le 11 novembre ... mais où va t'il s'arrêter ?
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