Ce collectif autunois a été crée le 22 Octobre 2010 par des autunois qui sont des syndicalistes, des personnes oeuvrant socialement ou de simples citoyens.Le but de ce collectif est de ne plus laisser une poignée de nos dirigeants supprimer nos acquis sociaux.C'est aussi refuser de supprimer à court terme notre système de retraite par répartition et de le livrer à la capitalisation.
Bref, vous l'aurez compris, c'est un collectif de résistance au système capitaliste.
jeudi 28 octobre 2010
Un collectif de citoyens déterminés
Comme dans d’autres villes françaises, s’est créé le 22 octobre à Autun un « collectif pour la défense de nos acquis sociaux » destiné à maintenir la mobilisation contre la réforme des retraites. « On veut nous faire croire que parce que le texte est voté, il est inutile de continuer à descendre dans la rue », indiquent les membres du collectif, réunis mardi soir à la maison des syndicats pour inviter la population à se mobiliser aujourd’hui à Autun à partir de 17 heures, et le 6 novembre à partir de 15 heures. Ce collectif réunit syndicalistes et simples citoyens de gauche, salariés comme retraités, issus du secteur privé comme du secteur public.
« Stratégie de famille »
« Il s’agit de ne pas laisser une poignée de nos dirigeants supprimer une partie de nos acquis sociaux et livrer notre système de retraites par répartition aux mains des capitaux privés », poursuit ce « collectif de résistance au système capitaliste ». Le groupe s’appuie en effet sur la révélation du site Internet Médiapart pour pointer du doigt une « stratégie de famille » entre Nicolas Sarkozy et son frère Guillaume Sarkozy. « Le frère du président vise le pactole du marché de la retraite complémentaire privée », dénonce le collectif autunois, qui s’interroge également sur l’avenir du système de sécurité sociale.
Celui-ci regrette plus largement des « réformes sarkozienne de répression sociale », une « logique de privatisation » et une « répartition des richesses profitant à quelques-uns » au détriment de « travailleurs de plus en plus pauvres ».
Nicolas Manzano
Publié le 28/10/2010 sur le JSL
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Bonjour à tous,
RépondreSupprimerVous avez raison : il faut continuer la lutte !!!
Une bataille perdue, pas la guerre !
Pour ne pas laisser le programme du CNR se faire démanteler, il ne faut pas lâcher : après les retraites, c'est la SECU, puis le chômage...
Je suis pour la poursuite de la lutte, sous toutes les formes possibles !
à bientôt,
Ch. Abt